Omniprésents dans la nature, les microorganismes responsables de l’apparition de moisissure se retrouvent parfois aussi dans les maisons. Souvent, ils voient le jour dans un lieu humide, peu éclairé et peu ventilé. Leur dangerosité pour la santé et la structure du bâtiment nécessitent une investigation rapide et efficace.
L’eau est souvent la grande coupable de la contamination fongique, souvent en raison d’une fuite ou d’une infiltration non traitée. Après un certain temps, les dommages aux matériaux de la maison et les soucis de santé s’enchaînent. L’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité du travail (IRSST) considère qu’il faut agir dès qu’il y a une croissance visible sur une surface, une odeur caractéristique ou une concentration élevée.
Dossier d’investigation : aucun détail ne doit être oublié
Au Québec, la Norme BNQ 3009-600/200 encadre l’investigation, le diagnostic et les mesures de décontamination. On ne s’improvise pas experts en problèmes de moisissures ! Une bonne démarche d’investigation commence par une collecte de données. Elle se fait en questionnant les résidents et les propriétaires, mais aussi par la lecture de documents historiques (permis municipaux, réclamations, etc.) qui mettent en lumière les rénovations passées et les fuites antérieures. Une visite des lieux s’impose également afin d’évaluer l’ampleur de la contamination fongique et déterminer la cause, notamment par l’observation des signes visuels.
Une fois cela fait, une rédaction exhaustive du dossier d’investigation est primordiale. Il ne faut pas lésiner sur les détails ! Tel que l’oblige la Norme BNQ, le rapport doit inclure certains renseignements essentiels afin d’éclairer la situation : observations pertinentes de l’inspection intrusive, limitations et obstructions, niveau de contamination ou encore conclusion quant à l’hypothèse de travail. Les événements passés pertinents en lien avec le bâtiment doivent aussi y figurer. Le rapport doit se terminer par des recommandations qui visent à résoudre le problème de moisissure et rendre le milieu de vie sain.
Obstacles et imprévus? Des experts à la rescousse
Certaines réalités peuvent complexifier l’investigation. Par exemple, lorsque la moisissure se trouve dans l’enveloppe du bâtiment et qu’il est impossible de l’observer; ou encore lorsqu’il y a une contrainte d’espace ou une difficulté d’accès. Dans ces situations, il faut recourir aux services de professionnels comme un ingénieur civil ou en structure afin que l’enquête se fasse de façon efficace et sécuritaire.
D’ailleurs, il est important que les investigateurs et les professionnels du bâtiment possèdent les qualifications requises, une assurance responsabilité ou soit membre d’un ordre professionnel, au besoin. Advenant le cas où il faut enquêter dans un système de chauffage, de ventilation et de conditionnement d’air, seul un spécialiste certifié peut se charger de cette partie du travail.
CEP : tous les experts au même endroit
À cet égard, CEP se démarque par son équipe de professionnels et d’ingénieurs qualifiés et variés qui peuvent répondre à tous les besoins rencontrés lors d’un dossier relatif à la moisissure. Conformément à la Norme BNQ, leurs experts en environnement peuvent efficacement investiguer sur la cause, déterminer l’étendue des dommages et proposer les mesures correctives. Chez CEP, les dossiers en lien avec les problématiques de moisissures dans les habitations sont traités rapidement, efficacement…et surtout sécuritairement. Donc, n’hésitez pas à contacter les experts chez CEP pour vos futurs dossiers !