Articles techniques

L'investigation forensique décortiquée

La collecte d'informations, de faits et de documents est une portion cruciale de toute investigation forensique. En effet, c'est grâce à toutes les données amassées par l'expert que ce dernier peut obtenir un portrait clair de l'ensemble des causes possibles pour expliquer une défaillance. Il peut ainsi, par la suite, utiliser son arbre de défaillances et ses connaissances techniques pour trouver la cause ou les causes racines d'un sinistre et produire un rapport pour expliquer le tout.

Les éléments de preuve : les clés d’un possible recours

Comme c'est le cas dans le cadre d'une enquête policière à la suite d'un crime, l'importance de préserver une scène de sinistre intacte ou de ne pas manipuler des objets qui pourraient permettre de faire la lumière sur ce qui s'est produit s'applique aussi à l'investigation forensique. Il s'agit en effet d'un élément crucial lorsque viendra le temps d'évaluer s'il y a une possibilité de recours.

Expertise de piscines

La saison des piscines est courte au Québec et les amateurs de baignade veulent savourer chaque instant. Malheureusement, le printemps apporte souvent son lot de dégâts à la piscine. Un entretien inadéquat ou insuffisant, des températures extrêmes, des caractéristiques géotechniques inadaptées ou une mauvaise installation peuvent en être la cause.

Mars : célébrons les femmes et leur génie scientifique!

Au Canada, mars est le mois national du génie! Pour toute la communauté ingénieure, c’est l’occasion parfaite pour mettre en lumière le travail de passionnés, et de susciter l’intérêt de la prochaine génération d’ingénieurs et de scientifiques! Mais en mars, on célèbre aussi les femmes et - le saviez-vous - elles sont nombreuses à avoir fait avancer la science. Alors, faisons d’une pierre deux coups en rendant hommage à toutes celles qui ont contribué à façonner notre monde moderne.

Naviguer l’inconnu : les défis entourant les contaminants émergents

La contamination d'un terrain par des produits pétroliers ou la présence de moisissures ou d'amiante dans un bâtiment sont des problématiques assez connues et documentées et pour lesquelles un certain encadrement réglementaire existe. Cet encadrement n'est toutefois pas le même pour les contaminants comme la silice cristalline, la suie, les composés organiques volatils (COV) ou les perfluorés et les polyfluorés (PFAS), et ce, malgré les inquiétudes du public à leur égard.

Le point commun entre l’ingénierie forensique et le réfrigérateur ? La conservation… des aliments ou de la preuve!

Si la réfrigération des aliments est une action quotidienne sécuritaire aujourd’hui, ce ne fut pas toujours le cas ! Les méthodes traditionnelles de conservation telles que la déshydratation, la cuisson, l'ajout d'additifs alimentaires ou la mise en conserve présentent des limites, ce qui a mené de nombreux chercheurs du 19e siècle à se pencher sur une nouvelle technologie. C’est finalement James Harrison, journaliste, imprimeur, homme politique, et même inventeur ( il faut croire qu’il s’ennuyait ! ) qui a été le premier à obtenir un brevet pour son système de réfrigération en 1855.

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